De nombreux universitaires potentiels travaillent parallèlement à leurs études. Si les revenus et le temps sont limités, les autorités fiscales et les caisses de sécurité sociale se retiennent.
L'emploi à temps partiel est une importante source de revenus pour de nombreux étudiants. Quiconque a un contrat de travail pour un travail temporaire ne paie aucune cotisation de sécurité sociale. Le montant des gains n'a pas d'importance. Prérequis: L'emploi est limité à deux mois ou 50 jours ouvrables.
Les impôts
Quiconque ne gagne pas plus de 450 euros par mois en tant que mini-jobber ne paie aucun impôt et seulement une petite cotisation à l'assurance pension. L'employeur verse une somme forfaitaire à la sécurité sociale comprenant une contribution à la pension. Si vous gagnez plus de 450 euros par mois dans votre emploi à temps partiel, mais travaillez au maximum 20 heures par semaine, aucune cotisation à la santé, aux soins de longue durée et à l'assurance chômage n'est due. Vous et votre employeur versez chacun 9,45% de vos revenus bruts à votre assurance pension. Avec des revenus dans la zone dite glissante (450,01 - 850 euros), les salariés ne paient généralement qu'une part salariale réduite à la sécurité sociale. Plus d'informations sur www.rentenblicker.de ainsi que dans la brochure gratuite «Conseils pour les étudiants: travailler et étudier»: en ligne sur www.deutsche-rentenversicherung.de.
* dans le secteur commercial source: assurance pension allemande
Avantages: Depuis 2013, les mini-jobs sont soumis à l'assurance retraite obligatoire. Le mini-jobber ne paie qu'une petite partie de l'assurance. Vous pouvez vous en débarrasser. Cependant, vous acquérez des périodes de cotisation complètes pour la pension et êtes directement éligible à la pension Riester.